9 janvier 2023 – sur le vif
Me trotte de plus en plus l’envie d’écrire, ailleurs, sous mon vrai nom, sur ce que j’étudie. Ici, je partage en méta sur mes études, quasi jamais sur ce que j’apprends. Je vois pourtant bien l’utilité d’en parler. Je vois moins bien comment. Et je crains la masse de travail supplémentaire que ça impliquerait. Je m’interroge enfin sur ce cloisonnement des espaces : est-ce viable ? est-ce nécessaire ? J’aime ici mon presque anonymat, la possibilité d’être lue, et de ne pas être lue, de me soustraire au regard des familiers, au devoir-être, au devoir-dire d’une certaine manière, une tentative de liberté. Une tentative, peut-être pas une réussite.
Un texte écrit avec l’amorce des réels à prise rapide (en savoir plus sur cet exercice).