Aujourd’hui je n’ai vu personne, et personne ne m’a vue. Je devais travailler et au lieu de ça, j’ai lu, sans pouvoir m’arrêter. Envoûtée par ce livre atroce et magnifique, My Absolute Darling, lourd dans mon cœur et dans mes mains. Je déjeune devant The bookshop sur Arte, un film un peu raté mais pas complètement, qui se termine ainsi : “Comme elle avait raison de dire que personne ne se sent jamais seul dans une librairie.”