Dans le miroir des toilettes du bâtiment, pas trop mal aujourd’hui. Dans celui de l’ascenseur en rentrant chez moi, quelle horreur. À la pause, je parle, parle, parle, on ne peut plus m’arrêter. Quelques jours plus tôt, je me demandais si j’avais quelque chose à dire à quelqu’un. Dans mes écouteurs, Chan chan surgit, avec l’envie de pleurer aux premières notes. Quelques minutes plus tard, sur le même morceau, l’envie de danser, je souris et remue mes hanches sur le siège du bus. Je lis d’affilée plusieurs articles d’un blog aimé, je n’avais jamais remarqué combien nos territoires sont proches. Il suffisait de regarder.